100 ans d'inventivité dans la
le désherbage mécanique
100 ans de technique de binage
Ici, vous accédez directement aux produits SCHMOTZER :
En 1922, le Dr Hans Schmotzer, fabricant bavarois de machines agricoles, met au point la première bineuse au monde pour le désherbage mécanique. Alors que l'invention du pulvérisateur a mis en avant le désherbage chimique, le vent a tourné aujourd'hui avec la forte croissance de l'agriculture biologique et a permis à la technique de binage de connaître une renaissance, accompagnée d'équipements ultramodernes comme le guidage par caméra.
Ce qui n'a cependant pas changé en 100 ans, c'est la fabrication de chaque binette à la main et dans une qualité allemande éprouvée.
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A méditer
Les mauvaises herbes, c'est ça,
ce qui repousse après le désherbage
Mark Twain
Écrivain américain (1835 - 1910)
KPP-M/L
Le multitalent et la binette la plus vendue
Avec la KPP, on dispose d'une bineuse qui permet de travailler facilement sur différentes largeurs de rang. Ainsi, la bineuse convient aussi bien pour le soja que pour le maïs, le coton ou les légumes. Les lames qui se chevauchent assurent un binage sans faille. Les mauvaises herbes sont ainsi coupées sur toute la surface et déposées à la surface. La sarcleuse KPP permet de réaliser des rangées de 30 à 200 cm.
Intransigeant avec les mauvaises herbes
mais en faisant très attention aux cultures. C'est le secret d'une bonne technique de binage. La gamme de produits KPP-L est parfaitement adaptée à l'élimination des mauvaises herbes, même dans les cultures à croissance rapide et haute, jusqu'à une hauteur de plante d'un mètre, grâce à un passage de cadre élevé de 100 cm. La bineuse stable et très précise est parfaite pour être utilisée dans le domaine du maïs et du millet.
Schmotzer et Claas - une équipe performante
Les bineuses à faible traction s'harmonisent parfaitement avec la gamme complète des tracteurs CLAAS. Pour des largeurs de travail réduites, un TALOS 240 suffit, pour des largeurs de travail plus importantes, les tracteurs de la gamme ARION sont un bon choix. Idéalement, les houes devraient être adaptées à la largeur de travail des semoirs afin de garantir un guidage parfait sur le rang.
La KPP lors d'un travail de précision
Lors de l'utilisation de la houe, un guidage précis des rangées est essentiel. Cela peut être commandé par une caméra qui déplace les parallélogrammes avec les couteaux de manière toujours adaptée ou par un opérateur assis derrière la houe qui règle la commande des parallélogrammes au moyen d'un volant. Cette vidéo montre de manière très impressionnante, à l'aide de gros plans, ce que la technique de binage est capable de faire.
Vous pouvez télécharger ici les brochures des produits en français, anglais et allemand.
EKP-M/S
Quand les rangs sont serrés...
alors les parallélogrammes étroits de la série EKP sont exactement le choix qui s'impose. Avec une précision quasi chirurgicale, les outils des bineuses EKP s'attaquent aux mauvaises herbes sur des rangées de 16 à 30 cm de large. Les sarcleuses EKP sont donc prédestinées à une utilisation dans le domaine des céréales comme le riz, le sorgho ou les cultures à densité similaire.
La flexibilité comme compétence clé
Les outils à changement rapide sont montés sur ressorts et leur profondeur de travail peut être facilement réglée. Ainsi, la bineuse peut être adaptée individuellement aux différentes exigences de travail qui résultent des cultures, des types de mauvaises herbes et de la nature du sol.
En attelage avec des tracteurs CLAAS
La technique de binage pour les rangs étroits est également parfaitement adaptée aux tracteurs CLAAS. Les bineuses peuvent être montées aussi bien à l'avant qu'à l'arrière et sont idéales pour les tracteurs de la gamme ARION 400 et plus. Les petites houes jusqu'à 4,50 de largeur de travail peuvent également être utilisées avec les modèles TALOS un peu plus grands, comme par exemple le TALOS 240.
Les houes en action
La technique de binage de Schmotzer est un produit haut de gamme pour l'agriculture biologique en Allemagne. Et comme l'agriculteur biologique doit lui aussi calculer au plus juste, les aspects coûts/bénéfices sont ici aussi au premier plan. Compte tenu des prix élevés des produits phytosanitaires et des restrictions légales croissantes, il n'est donc pas surprenant que la gestion mécanique des mauvaises herbes gagne du terrain, au sens propre du terme.
Vous pouvez télécharger ici les brochures des produits en français, anglais et allemand.